Les jeunes filles des médias sont des entités fluettes et tubulaires... Leurs aspérités « modernes » sont déjà convenues, s’érigent en fausses rebelles sur un même fil d'Ariane. Toutes ces nouvelles choses qu’on peut être : crades, intelligentes, inventives, bricoleuses, fortes têtes, têtes brûlées… mais à condition, toujours, toujours, toujours, toujours, qu’il y ait en filigrane, cette unique féminité qu'on feint de décliner en un éventail varié - minuscule éventail qui n'induit pas de vent. Qu'au fond, tout reste charmant.
Asphyxiant.
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